Pierre-Charles Trémolières (1703-1739)
De l'enfance choletaise de Pierre-Charles Trémolières, on sait peu de choses, sinon que son père, Pierre Trémolières est décédé en 1706 alors qu'il avait 3 ans. Sa mère l'aimait peu et l'enfermait souvent dans une pièce mansardée où il passait son temps à dessiner sur les murs.
Toujours est-il que ce jeune homme est vite remarqué pour ses talents artistiques par sa mère qui décide de l'envoyer à Paris en 1719 auprès d'une connaissance de la famille. Ce dernier pris l'enfant en charge et se chargea de lui donner une solide éducation.
Le comte de Caylus (1692-1765), grand collectionneur et amateur d'art, le prend sous son aile. En 1726, Trémolières obtient le deuxième prix de l'Académie de peinture. Il est alors envoyé à Rome de 1728 à 1733. Là-bas, Trémolières se marie à Isabelle Antoinette Tibaldi, fille de musicien. Il développe son talent et sa technique pour la peinture et le dessin comme pensionnaire de l'Ecole de France.
De retour en France, il fait tout d'abord étape pendant 18 mois à Lyon, où il peint des thèmes religieux pour des couvents. Il s'établit par la suite à Paris où il devient l'élève de Jean-Baptiste Van Loo (1684-1745), un peintre français, héritier d'une dynastie de peintres flamand renommés.
Parmi les travaux exécutes par Trémolières, il faut noter la décoration de l'Hôtel de Soubise à Paris. Cet hôtel particulier abrite aujourd'hui le site historique des Archives Nationales. Il est aussi l'auteur de plusieurs dessins, eaux-fortes et sanguines. Parmi ses principaux tableaux exposés, celui de l'Age d'Or (1739), visible au musée de Cholet, que le peintre laissa inachevé lorsqu'il mourru de la "poitrine le 11 mai 1639.
Toujours est-il que ce jeune homme est vite remarqué pour ses talents artistiques par sa mère qui décide de l'envoyer à Paris en 1719 auprès d'une connaissance de la famille. Ce dernier pris l'enfant en charge et se chargea de lui donner une solide éducation.
Le comte de Caylus (1692-1765), grand collectionneur et amateur d'art, le prend sous son aile. En 1726, Trémolières obtient le deuxième prix de l'Académie de peinture. Il est alors envoyé à Rome de 1728 à 1733. Là-bas, Trémolières se marie à Isabelle Antoinette Tibaldi, fille de musicien. Il développe son talent et sa technique pour la peinture et le dessin comme pensionnaire de l'Ecole de France.
De retour en France, il fait tout d'abord étape pendant 18 mois à Lyon, où il peint des thèmes religieux pour des couvents. Il s'établit par la suite à Paris où il devient l'élève de Jean-Baptiste Van Loo (1684-1745), un peintre français, héritier d'une dynastie de peintres flamand renommés.
Parmi les travaux exécutes par Trémolières, il faut noter la décoration de l'Hôtel de Soubise à Paris. Cet hôtel particulier abrite aujourd'hui le site historique des Archives Nationales. Il est aussi l'auteur de plusieurs dessins, eaux-fortes et sanguines. Parmi ses principaux tableaux exposés, celui de l'Age d'Or (1739), visible au musée de Cholet, que le peintre laissa inachevé lorsqu'il mourru de la "poitrine le 11 mai 1639.
L'âge d'or (1739), dernier tablaeu de Trémolières.
Ses œuvres se retrouvent aujourd'hui dans de nombreux musées européens, autre celui du musée d'Art et d'Histoire de Cholet, où une large place lui est faite, on retrouve ses tableaux dans les musées de Dijon, Quimper, Montpellier, Budapest, Mayence, Saint-Petersbourg au musée de l'Ermitage.
