"C. suggère pourtant que les intrus peuvent être des invités enivrés de la noce. Il ouvre la porte de notre chambre, et note la lumière dans le salon, la porte défoncée avec la barre de bois brisée sur le sol.
Sa peur prend alors l'expression de la colère. Il s'avance sur la terrasse pour voir les assaillants. Deux hommes se tiennent devant la porte. Ils sont sales et répugnants, les yeux injectés de sang et le visage déformé sous l'effet de la drogue locale. Ils attendent que leurs cinq complices parviennent à entrer.
"- Un enfant dort dans cette maison, foutez le camp de chez moi ! Pourquoi venez-vous foutre le bordel ici ?"
Les agresseurs restent figés pendant un court instant, surpris que C. en calçon, leur tienne tête. Puis mon mari voit l'un d'eux sortir un fusil à canon scié, et n'a aucune hésitation sur l'intention assassine de l'homme. Et comme s'il validait son pressentiment, ce dernier tire aussitôt."
Sa peur prend alors l'expression de la colère. Il s'avance sur la terrasse pour voir les assaillants. Deux hommes se tiennent devant la porte. Ils sont sales et répugnants, les yeux injectés de sang et le visage déformé sous l'effet de la drogue locale. Ils attendent que leurs cinq complices parviennent à entrer.
"- Un enfant dort dans cette maison, foutez le camp de chez moi ! Pourquoi venez-vous foutre le bordel ici ?"
Les agresseurs restent figés pendant un court instant, surpris que C. en calçon, leur tienne tête. Puis mon mari voit l'un d'eux sortir un fusil à canon scié, et n'a aucune hésitation sur l'intention assassine de l'homme. Et comme s'il validait son pressentiment, ce dernier tire aussitôt."